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 Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte

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Eliott Branigan

Eliott Branigan


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MessageSujet: Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte   Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte EmptyDim 12 Jan - 15:46


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Eliott (Sofia) Branigan
Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte
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âge 21 ans date et lieu de naissance New York, le 28 février nationalité et origines Américaine statut civil Célibataire statut monétaire Modesteemploi/études Etudiante en Droit traits de caractère Posée, réfléchie, responsable, Adroite, Altruiste, courageuse, déterminée, résolue, un peu peureuse, méticuleuse, organisée, susceptible, ambitieuse  groupe Women


feeling no limits, seizing each minute
(1) Elle se brosse les dents trois à quatre fois par jour. Parfois plus. D’ailleurs, elle a toujours dans son sac son nécessaire (2) Elle se maquille très peu, sauf aux grandes occasions (3) Elle ne porte pas de parfum. Juste de l’essence de patchouli. Ça sent fort. Ses collègues en cours n’aiment pas toujours. Elle, elle ne le sent même plus (4)  Son gel douche est parfumé à la noix de coco (5) Toutes ses journées commencent par un jus d’orange. Elle ne mange rien de solide avant 10 heures du matin (6) Elle adore les sucreries au miel (7) Si elle est fière de sa réussite, elle ne s’aime pas beaucoup physiquement. Elle est constamment au régime (8) En cours, elle porte des lunettes (9) Lorsqu’elle est attendue, elle arrive toujours quinze minutes à l’avance, quitte à tourner au tour du lieu de rendez-vous (9) Elle se lève toujours très tôt et se couche souvent très tard. Elle dort peu (10) Elle ne boit que du thé au fruit rouge (11) Elle n’est jamais tombée amoureuse (12) Elle vit dans un petit appartement. Elle cherche une ou un coloc d’ailleurs. (13) Elle ne supporte pas qu’on la juge sans la connaître (14) Elle économise à l’excès. Pourtant, devant un beau vêtement, elle finit toujours par craquer (15) Plus jeune, elle tenait un journal intime. Elle les a tous conservés (16) Elle appelle son meilleur ami plusieurs fois par jour. Elle sait que ça l’agace parfois, mais c’est plus fort qu’elle (17) Une fois rentrée chez elle, elle enfile un survêtement (18) Le dimanche est le seul jour où elle s’accorde une grasse matinée. Elle se réveille à pas d’heures, meurt de faim et s’enfile des céréales au miel devant les dessins animés. Elle préserve ses petits moments d’insouciance (19) Elle a peur de vieillir. L’idée d’avoir quitter la vingtaine la rend fébrile (20) Elle écoute de tout mais, lorsqu’elle a besoin de se détendre après une journée de boulot, elle écoute du Beethoven (21) Son plus grand regret est de n’avoir pas pu jouer d’un instrument de musique quand elle était petite. Aujourd’hui, elle prend des cours de guitare. Elle ne sait pas jouer grand-chose. À peine quelques accords, mais, elle s’y tient après avoir abandonné récemment le violon. Elle n’a vraisemblablement pas l’oreille musicale. Trop difficile. Trop capricieux (22) Elle baragouine quelques mots en français, mais est capable de se faire comprendre en espagnol (23) A l’université, elle est la meilleure de sa promotion (24) Elle a toujours sacrifié sa vie pour ses études. Elle n’est jamais vraiment tombée amoureuse. Si ça lui tombait dessus, elle ne le reconnaîtrait même pas (25) Elle n’a pas connu beaucoup d’hommes dans sa vie. Quelques-uns qui l’ont accompagné çà et là avant de devenir des poids l’empêchant d’atteindre sa réussite (26) Elle échangea son premier baiser à dix-huit ans. Elle n’est pas très précoce. Même si elle s’en cache, elle est toujours vierge d’ailleurs. Un garçon, dans sa vie, compliquerait tout et ça l’empêcherait certainement d’atteindre ses objectifs. (27) Elle adore les mots croisés et les sudokus (28) Elle n’est pas sportive pour un sou. Elle paie un abonnement dans une salle de sport où elle ne va pas et tous les jours, elle prend pour résolution d’aller courir. Elle le fait une fois. Elle ne s’y tient jamais (29) Elle chante à qui veut l’entendre qu’elle a arrêté de fumer. En réalité, elle fume en cachette (30) Elle a toujours dans son sac une bombe lacrymogène. Elle est périmée. Elle s’en fout. Elle ne l’utilise jamais (31) Elle se méfie facilement des hommes. Elle ne supporte pas qu’on la touche. (32)Sa zone proximale est étendue. (33) Elle est passionnée par ces études. (34) Légèrement féministe, elle ne supporte pas qu’un homme la regarde de haut, comme si elle ne serait jamais qu’une gratte-papier (35) Elle n’est pas végétarienne, mais est sensible à la cause animale. Elle ne mange de la viande que deux fois par semaine (36) Elle n’a ni compte Facebook, ni compte tweeter. Elle déteste cette façon trop radicale de s’immiscer dans la vie privée des gens

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then i'll admit i'm just the same as I was now.
La jeune femme est épuisée. Mais, elle n’a pas le courage de se lever. Même la faim qui tiraille son estomac ne suffit pas vraiment à la pousser hors de son lit. Ça lui arrive parfois. Peut-être plus fréquemment qu’elle ne veut l’admettre. Il y a des matins, comme ça, où elle est la proie du vague à l’âme. Car, dans ses draps, la nuit, elle ne dort pas. Elle pense, elle réfléchit. Elle cogite, comme on dit. Elle soupire sur son enfance difficile. Elle s’envisage un avenir plus amène et elle apprivoise son présent. Et toujours, toujours, elle se pose les mêmes questions : « Quel genre de femmes serais-je si j’avais connu ma mère ? Serais-je entourée d’amis sans problèmes ? Aurais-je aimé mon père ? Aurais-je grandi à ses côtés et non pas dans un orphelinat ? Aurais-je dû travailler pour me payer mes études ? Aurais-je laissé mon adolescence de côté pour me dévouer corps et âme à mes études ? » Tant de questions sans réponses et qui le resteront à jamais. Comment savoir ? À l’accouchement, sa mère n’a pas survécu. Son père lui en a voulu. Elle n’était plus une bonne nouvelle, juste un oiseau de mauvais augure. Un corbeau. Une meurtrière. Une meurtrière qu’il marquait d’hématomes pour soulager sa peine. Ce n’était pourtant pas le plus difficile à supporter. Au contraire. Le plus douloureux, c’était le poids si dense qu’il faisait peser sur ses épaules : la culpabilité. Ses coups, de plus en plus violents, s’accompagnaient toujours d’accusations et d’insultes ronflantes. Si bien qu’avec le temps, elle finit par y croire. Elle parvint à se convaincre de ses fautes. Des fautes inconscientes cependant. Des péchés inexistants : elle avait tué sa mère.

Par chance, si son enfance fut un chemin de croix, elle n’était pas seule à porter son fardeau. Henry, le fils ainé d’ami de la famille, a voulu l’arracher des bras de son bourreau. Il était jeune malheureusement. Jeune et sans revenu. Il était à peine âgé de 18 ans, elle en avait six. Elle en est pourtant tombée amoureuse. Ô, pas au sens propre bien sûr. Non. Plutôt de l’image qu’il lui renvoyait d’elle-même, du rôle qu’il tenait dans sa vie, de cette façon touchante qu’il avait de la déculpabiliser, des risques inconsidérés qu’il a pris pour la sauver. Dans ses yeux, elle n’était qu’une enfant. Une victime du destin. Un dommage collatéral de la folie du divin. Il l'a aidée. Son soutien était sa rédemption. Elle, elle encaissait les coups et lui, il la ramassait... l’équilibre était parfait, jusqu’où jour où il s’est enfui avec elle. Un soir un peu frais d’une belle journée d’automne, il est venu la chercher, il a fait ses valises et ils sont partis sous le regard ébahi d’un père saoul, incapable de se mouvoir, incapable de protester. Ce papa, elle ne l’a plus jamais revu après cet évènement mi bénéfique mi-tragique.  

Elle se souvient parfaitement de leur errance dans les artères de NYC. Un mois. Un mois durant, ils ont survécu dans la rue, sans logis, sans argent. Et, malgré tout, elle ne garde de cette épreuve que de bons moments. Soucieux de son bien-être, Henry se démenait pour la protéger. Elle n’a jamais su comment il s’est débrouillé, nonobstant leur situation des plus précaires, pour conserver le sourire. Tout comme elle ignore comment il l’a nourrie durant cette période. Elle sait simplement qu’elle se sentait libre. Aussi a-t-elle détesté ces gens qui les ont séparés. Qu’importe les jours meilleurs qu'on lui promet sous un toit, elle n’avait que faire de manger à sa faim ou de dormir au chaud. Le confort d’un foyer aimant ne valait rien sans lui. Pleurer, hurler, protester, s’insurger n’y a rien changé. Les services sociaux lui ont enlevé son sauveur. Ils l’ont placée dans un orphelinat en attendant qu’une famille l’adopte. Elle ne se faisait pas d’illusion. Un enfant de six ans, c’est déjà trop vieux pour satisfaire les rêves d'un couple souhaitant s'accomplir. Elle n’a jamais su ce qu’est devenu Henry. Elle n’a plus jamais entendu parler de lui. Il a disparu comme il est venu. Un soir d’automne. Elle y songea longtemps avec amertume. Quelques fois, elle se surprend même à entrer son nom dans la barre de recherche de Google. Elle l’imaginait joueur de basket professionnel. Elle ne trouvait jamais rien. Rien de concret. Elle n’a jamais rien trouvé. Si, plus tard, à défaut d’accepter son absence, elle apprit à vivre avec, c’est grâce à Stanley, son meilleur ami.

Stanley, c’était le mouton noir de l’orphelinat. Le mec qu’on voit, mais qu’on ne remarque pas. Le gamin perdu qui accumule les conneries. Elle n’était pas différente des autres, elle ne lui parlait jamais. Lorsqu’on a sept ans, on se retrouve seule, on cherche à se créer une famille. On ne contredit donc pas les plus influents des enfants. Néanmoins, alors qu’elle était mise à l’épreuve par Nicky, une petite peste qui oublie son malheur dans celui des autres, elle a été pincée dans le bureau de la directrice à déposer des punaises sur sa chaise. C’était l’amende à payer pour intégrer le cercle fermé de Nicky. Prise de panique devant l’autorité, Eliott est restée sans voix, agaçant sa victime qui hurle encore et toujours. Elle répète inlassablement que cette gamine n’a jamais fait de vagues auparavant et cherche désespérément cet aveu : qui est à l’origine de cet attentat. La tête baissée, la fillette ne pipait mot, craignant moins la sentence que le rejet. C’est Stanley qui l’a sorti d’affaires. Alors qu’il était entraîné par le bras sur le lieu du crime, il se prétendit responsable de cette manigance et les enfants furent désignés complices. Elle ne croyait pas si bien dire : couper les pommes de terre à la cantine ça rapproche. La gentillesse aussi.

Stan était pour elle d’une incomparable bonté. Lorsqu’elle était blessée, il la soignait pieusement. Quand elle pleurait, il la consolait tendrement. Et souvent, si elle riait, c’était de son unique fait. Il déployait des trésors d’ingéniosité pour l’arracher à sa vie morose. Stan est rapidement devenu son phare, son île, son refuge. Il était son seul point de repère sain. Concrètement, l’avoir à ses côtés suffisait à la sauver. Il a fait toutes ces classes avec elle. Il a été le témoin privilégié de ses échecs, de ses réussites, de ses premiers coups de cœur, de ses coups de gueule, de son premier amour supposé, de son premier chagrin également. Il est, tour à tour le plombier, le facteur, le coursier. Il est, avant toute chose, son meilleur ami. Celui qui, en tout temps, a pris le temps de l’écouter. Il a écouté ses ambitions sans jamais la juger, sans jamais se lasser de l’entendre rabâcher qu’elle deviendrait quelqu’un. Pour se faire, elle s’est jetée à corps perdu dans ses études, négligeant tout acoquinement social. Dans sa vie, il n’y avait de la place que pour Stan et ses innombrables amis. Apprendre, ça passe le temps. Il s’égraine plus vite dans le sablier de la vie. Très vite. Elle réussissait bien. Elle faisait sa propre fierté. Elle était bien. Juste bien. Ni malheureuse ni le contraire. En fait, il lui manque un essentiel. Quelqu’un qui l’attend le soir quand elle rentre épuisée, qui l’accueille avec le sourire, un repas savoureux dans le four. Un homme avec qui elle pourrait se construire un avenir à chérir. Des enfants peut-être ? Oui, sans doute. Elle en veut. Elle en rêve. Des petits êtres innocents qu’elle choierait sans compter.

En quittant le lycée, elle n’a pas laissé grand monde derrière elle. Amicalement parlant, elle a toujours été très entourée, certes. Même si elle était bizarre pour les jeunes de son âge. Elle ne parlait jamais d’amour et en devenait presque ennuyeuse. Nul n’aime qu’on lui rappelle sans cesse l’interrogation de math à préparer ou le travail de groupe à terminer. Mais on l’aimait pour ça aussi. En amour, elle n’attirait que les bourreaux de travail, les intellectuels qui mangent seuls au réfectoire. Cela lui convenait. Il ne lui demandait que peu d’attention. Elle n’avait, de toute façon, pas de temps à perdre en badinages inutiles. Elle avait une vie à vivre, elle ne l’attendrait pas éternellement. Sa meilleure amie portait le nom de Lucia. Une Italienne installée en ville avec son frère, Cesare. Ils formaient un trio inséparable. En dehors des cours, si l’un ou l’autre avait besoin d’une oreille attentive, ils se voyaient naturellement, ils se parlaient par Messenger également. Souvent. Un peu trop pour Cesare, le frère de son amie. Entre amour et amitié, Elliott et le bel Italien se sont égarés. Ils ont vécu une histoire d’amour des plus banales... Il était juste son premier baiser. Une première moitié sans passion. Elliott ne saurait dire s’il lui plaisait vraiment. Il n’était pas tout à fait beau, pas vraiment laid. Il avait juste au fond des yeux la lueur familière de l’ambition. Une lueur qui la rassurait. Pour Cesare, rien n’était impossible. Pour elle, toutes les histoires ont des limites. Tout prend fin un jour ou l’autre. Elle l’a quitté la main sur le cœur. « Je t’aime bien. Je voudrais t’aimer tout court. » A-t-elle déclaré timidement. Elle se rappelle. Il a baissé la tête et a souri. Il a dit : « Je sais » et elle aurait juré avoir entendu, à cet instant, le cœur de son supposé premier amour se briser en mil morceaux. Puis, il a levé les épaules et est parti. Lui non plus, elle ne l’a jamais revu. Lucia, quant à elle, s’est expatriée en Angleterre pour un militaire. Elle en est follement amoureuse. Il la comble de bonheur et Elliott est ravie pour elle. Elles s’appellent régulièrement. Elles s’envoient des emails. En fait, son départ n’a fait que confirmer ce qui, pour la future avocate, n’a jamais été qu’une certitude : tout se perd. Rien ne se garde. On nait seul, et un jour ou l’autre, on le redevient. C’est ça, l’abandon.

Aujourd’hui, les choses sont bien différentes pour la jeune femme. Plus que quelques années avant l’obtention de son diplôme et elle s’accorde le droit de lier des amitiés sincères. Certes, elle fuit toujours un peu les hommes. Il n’empêche qu’elle n’a jamais été aussi entourée qu’en ce moment. Alors, pourquoi se sent-elle toujours un peu seule ? Elle entretient, avec ses proches, des amitiés cordiales. Elle peut même se vanter d’avoir trouvé, récemment, une véritable amie. Malgré tout, ce dimanche matin un peu morose, elle renonce à ses habitudes. Elle ne sortira pas de son lit pour regarder les dessins animés. Elle ne mangera pas de miel pops devant la télévision. Elle ne téléphonera pas à l’une ou l’autre de ses innombrables copines pour partager un diner entre filles. La seule chose qu’elle conservera de son rituel habituel, c’est le sacro-saint coup de fil destiné à Stanley. Alors, toujours allongée dans son lit, la voix un peu éraillée, elle récupère sur la table de chevet son cellulaire, compose son numéro de téléphone et patiente. Cinq tonalités plus tard, il n’avait toujours pas répondu. Ainsi a-t-elle laissé un message : « Tu me rappelles quand tu as deux minutes... J’ai... » Elle a hésité, préférant la raillerie aux confidences « j’ai de la lasagne au frigo, j’en ai trop. Si ça te tente, tu es le bienvenu. » Elle raccroche, s’étire dans ses draps, se décide à se lever, se dirige vers la salle de bain pour une douche salvatrice et soudain, la sonnerie métallique de son portable hurle dans la chambre. Elle se précipite alors pour décrocher, espérant reconnaître la voix familière de son ami, elle est accueillie alors par la non moins chaleureuse voix d’Andreas. Qu’en dire ? Si elle ne peut s’empêcher de sourire, elle ignore comment se comporter avec lui. Il est aussi rêveur qu’elle n’est réalité, aussi idéaliste qu’elle n’est fataliste, aussi passionné qu’elle n’est mesurée. Il est dynamique, elle est plus flegmatique. L’ambition, elle en détient pour deux. Elle en a trop, lui pas assez. Quand bien même apprécie-t-elle sa compagnie, elle ignore ce qu’il pourrait avoir à construire avec lui, amicalement parlant… Néanmoins, elle est à sa cause acquise. Avec lui, elle se sent vivre. Elle vit loin, loin de ses irrépressibles besoins d’être quelqu’un. Alors, qu’advienne que pourra, qu’advienne que devra.

pseudo, prénom T. âge et paysB. 24 célébrité Tonya Vasylchenko fréquence de connexion Souvent commentaire, avis rien à ajouter. dédicaces, autres RAS




Dernière édition par Eliott Branigan le Dim 12 Jan - 18:09, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte   Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte EmptyDim 12 Jan - 15:48

BIENVENUUUUUUUUUE ! Joie,joie,joie!  Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte 3565300029 Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte 1602474150 
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MessageSujet: Re: Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte   Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte EmptyDim 12 Jan - 15:56

Merci toi  Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte 3951980900 
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MessageSujet: Re: Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte   Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte EmptyDim 12 Jan - 17:48

Ahahah elle a l'air géniale et totalement malade, j'adore  Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte 4014715354 
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MessageSujet: Re: Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte   Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte EmptyDim 12 Jan - 19:14

Bienvenue I love you

Très très bon choix de scénario  Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte 1794113845 
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MessageSujet: Re: Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte   Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte EmptyDim 12 Jan - 19:17

merci Lennox =D
Très joli l'avatar
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Bienvenue  Elliot ||Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte 2082489047 
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