♧ ♤ ♧ Dunleigh Mercutio Forbes God has given you one face, and you make yourself another. shakespeare -------------------------------
âge Vingt-huit printemps et ce foutu temps qui ne s'arrête jamais date et lieu de naissance 14 Février - ironie du sort de mise, de toute évidence. New York. nationalité et originesnationalités américaines avec du sang rital qui boue dans les veines et la classe à la française , nonchalante dans les airs. statut civil civilement célibataire - celui qui croque la vie à pleines dents - crocs toujours affutés statut monétaire fluctuant - aléatoire - plutôt aisé quoique biaisé - en vertu de ses talents de comptable plutôt moyens tirant même sur le médiocre emploi/études Journaliste au New York Times - un peu pompeux comme emploi, un peu vendeur de rêve ou de cauchemar. Chroniqueur télé sur une chaîne locale - vous ne connaissez pas " Les pérégrinations d'un squale" ? Et bien c'est un mélange corrosif entre cynisme et cruauté humaine - politiquement correct. En vrai, c'est de la grosse daube et, il a bien hâte que son contrat tire à sa fin traits de caractère Sarcastique - verre toujours vu à moitié vide - Méticuleux - Franc - Orgueilleux - Blagueur - Un brin enjôleur - Plutôt réfléchi - Protecteur - Brave quand la situation l'exige - Un peu grossier - Très généreux - Connard sur les bords groupe men
feeling no limits, seizing each minute
△ Dunleigh nourrit secrètement une fascination pour les boutons de manchettes – il en a des tas, plusieurs tiroirs à gueule de présentoir qu’il cache à la vue de tous même de ses sœurs qui ne doivent même pas se douter de l’existence de cette collection couteuse et certainement ridicule. Chut. △ Il y a quelques mois, il a accueilli un chien – un teckel flippant qu’il a trouvé sur le bordure d’une route de campagne alors qu’il devait certainement avoir un degré d’alcoolémie plutôt cocasse – surement l’éthanol qui lui est monté au cerveau ou une connerie du genre quoiqu’il en soit, à ce moment l’adoption d’un clebs lui semblait une merveilleuse idée – ce qui , visiblement, n'est plus trop le cas. Voyez-vous, ça lui demande beaucoup de concentration et, s'il n'a pas pu garder en vie l'espèce d'horrible plante verte que Mia lui a un jour offert, il ne pourra pas le garder bien longtemps en vie, son teckel, qui se nomme Mia - comme sa sœur - mais qui est - d'après le service trois pièces qu'il balade- un mâle. △ Lorsqu’il était petit – avant que sa mère ne trompe son père, avant le divorce et les pleurnicheries sans fin, avant la « catastrophe » de son enfance – l’on avait jugé utile au petit Dunleigh d’apprendre la danse – pas celle avec un juste-au-corps mais celle que l’on nomme de « salon ». Malgré la gêne qu’il ressent lorsque ses sœurs décident de sortir les vieilles photographies, il se targue désormais de savoir bouger son corps, mieux que ses frangines, en tout cas. Enfin – même s’il se démarque dans la danse statique, vous voyez le concept ? Dunleigh est celui qui se contente de tenir le mur ou le siège VIP – bière à la main, cigarette de l’autre. Mention spéciale – gigotage sans queue ni tête, à l’occasion. En vérité ? Dunleigh n’a pas le rythme dans la peau. Mais est-ce que les autres ont besoin de le savoir ? △ Dunleigh joue du piano – comme un manche – mais, oui, il est virtuose △ Sa journée ne débute jamais sans une bonne séance de tartine en tout genre – sa femme de ménage ( Manuela) doit être là avant que Monsieur ne se lève et doit lui en préparer au moins cinq – si elle tient à conserver son boulot. Quel est le rapport entre le ménage et la bouffe ? △ Manuela ne parle que l’espagnol. Mais, Dunleigh le parle couramment. Il parle couramment un anglais auquel il ajoute un accent espagnol. Un artifice qui prend presque puisque cela fait trois ans qu’il arrive à bricoler avec un « por aqui », « por alli », « como ? » , « rapido», « vamos », « no » et le merveilleux « si ». Il l’aime bien sa femme de ménage – puis, même si parfois, il n’a pas de quoi la payer, elle vient quand même parce qu’il a sa belle gueule d’ange et qu’apparemment, il ressemble à son oncle Paolo mort de la tuberculose △ Dunleigh , sportif ? Seigneur – le sport, le sport, le sport c’est pour les cons. Évidemment, tout le monde sait qu’il était à deux doigts de rejoindre l’équipe de foot américaine mais, qu’une blessure des ligaments – le coup classique – lui a brisé son rêve en mille morceaux. Il faudrait qu’il finisse par avouer qu’il n’a pas eu envie de raccrocher ses crampons et qu’il nourrit secrètement l’envie d’avoir sa propre émission télé consacrée à ce sport si peu apprécié des boudins pullulant aux Etats-Unis. Ce n’est pas qu’un sport où un idiot court après une baballe ! Veuillez en parler avec déférence en sa présence où le volcan Dunleigh entre en éruption △ Sa femme idéale se rapproche d’un mix entre Angelina Jolie et Sonia la Rouge – et autant avouer tout de suite : son héros n’est pas superman ce gay refoulé, ni même spiderman – ce copieur mais Conan le Barbare – la version Schwarzenegger. △ Il n'a jamais pardonné à sa mère, ni même à son père. Seules ses soeurs ont droit à un amour inconditionnel venant de lui. Les autres membres de sa famille ? Les autres n'ont qu'à aller se faire foutre. △ Dunleigh se ruine pour son prochain - Dunleigh voyage beaucoup et s'arrange souvent d'atterrir dans un coin en ruine, histoire de donner un coup de main aux sinistrés après le Darfour, il y a eu Haïti. Et les habitants de la nouvelle Orléans. S'il achète tout plein de costards c'est pour les Galas de charité auxquels il assiste ( et aussi, pour pouvoir les porter, ces boutons manchettes, hein)△ Il a le cellulaire greffé à l'oreille. Les affaires, sont les affaires, chérie. Va commander à boire en attendant, d'accord ? Et ce ton paternaliste qu'il utilise lorsqu'on le pompe -
then i'll admit i'm just the same as I was now.
« Non, au pôle nord » il siffle, portant ses iris ambrées sur l’espèce de greluche bête à bouffer des tonnes de foins, qui le regarde, les yeux en soucoupes. L’air stupide d’une groggy sur le point de rendre. Il renifle de fierté – pleinement satisfait d’avoir envoyé son sarcasme à la figure de cette incompétente de haut niveau – ou de bas, ces choses dépendent de l’angle de vision. M’enfin, d’un mouvement leste de la main, il s’empare du paquet de clope qui gisait paisiblement dans la poche de sa vieille veste en cuir – une relique, héritée du grand-père. Celui-là même qu’il n’aime pas plus que ça mais qui s’arrange toujours de le gâter. Comme si sa présence sporadique aux anniversaires (une fois l’an, quel privilège) pourrait représenter quoique ce soit. Un rictus déforme ses lèvres alors qu’il tire une latte salvatrice du sésame qu’il coince entre uranus et jupiter – celle qui, incandescente, vit ses dernières minutes. Et lui, l’insolent, l’infâme, il lui arrache l’âme en inspirant dessus comme le morfale, comme si à cette cigarette s’accrochait sa propre survie. Il souffle – des volutes qui s’élèvent aussitôt et atteignent rapidement le visage de la pauvre conne, postée devant lui, dossiers pressés sur sa poitrine quasi inexistante. « Vous voyez bien que je suis occupé » - il n’est pas occupé, il n’est jamais occupé dans l’esprit de cette petite fourmi ouvrière qui ira rapporter tout au grand patron. Ce sale type bedonnant qui aurait bien besoin qu’on l’inscrive dans ces centres d’amaigrissement à dix mille dollars la semaine. Vieux lard. Il le pense – sourit même. Puis, revient à la charge : « Qu’est-ce que vous attendez ? Allez oust – j’ai besoin de concentration » quelques secondes s’éteignent et, mademoiselle ne bouge pas d’un seul centimètre : « Vous voulez peut-être que je vous le dactylographie ? » l’œil mauvais qu’il pose sur elle finit par l’empoisonner. Furtive elle se retrouve de l’autre côté de la porte. Bien, maintenant, il va l’écrire ce maudit article. C’est juste que, merde, il lui était sorti de la tête. Il ferait bien d’arrêter la picole, d’arrêter cette socialisation pathologique qui fait toujours de lui, le premier des fêtards et surtout le dernier des cons.
La fête bat son plein – brunch à tronche de Garden Party, à dire vrai, Dunleigh n’a jamais réellement fait la différence ce qui, risquerait de choquer quelques conservatrices dont Mia ferait parti. Il se tient appuyé contre cet arbre vieux de plusieurs siècles qui doit certainement en avoir vu défiler des charlots dans son genre – fringué comme une gravure de mode dans un pantalon hideux que le vendeur lui a conseillé de prendre « so trendy », ouai et ce vieux Polo qui lui donne l’air d’une figure Abercombie & Fitch. Dunleigh se sent comme un éléphant dans un magasin de porcelaine – bourriné, disgracieux. Il n’ose même pas imaginer ce que ça aurait donné si Mia et Lennox avaient été aux abonnés absents. Un sourire vient annexer ses lèvres, illuminer son visage tandis qu’il se glisse avec fluidité près de sa sœur par alliance – sa petite « Leno » comme il est le seul à l’appeler, le seul à s’en donner le droit et ne craindre aucune représailles puis, c’est pas comme si du haut de son mètre cinquante catégorie poids plume, elle serait capable de lui faire mordre la poussière. Son bras s’enroule autour de ses épaules et alors qu’un serveur passe, chargé de son extraordinaire plateau à flûtes, il en profite pour en choper une : « On dirait que nos merveilleux parents ne savent plus quoi inventer pour qu’on ait l’air d’une « belle slash grande slash heureuse » famille » - il ricane, buvant une gorgée de ce champagne qui a bon goût, vu le prix de la bouteille – de quoi nourrir un village africain pendant au moins trois siècles. Ça le révulse pourtant, il en profite. Loin d’être doté de la fonction « ingrat » qu’on ajoute au pack – souvent par inadvertance et qui est, franchement, la hantise de tout parent. Son regard embrasse la cohorte de jet-setter à deux balles, une bande de faux-culs avides. Parmi eux, son père, sa - guillemets indispensables – « charmante » épouse ou comme il l’appelle en douce : la salope de mon père. Parmi ces têtes, jamais il ne voit celle de sa mère, celle qui les a abandonnés, celle qui a commis une impardonnable erreur. Il doit au moins avoir une pensée par jour qui lui est dédiée – une qui à chaque fois, l’écœure et l’émeu. Si seulement il n’avait pas été rancunier. Pas de fonction « ingrat » ? Ouai – on y croit tous.
pseudo, prénom les pseudos c'est pour les bolos - non mais call me maxence âge et pays j'ai l'âge, il parait. L'âge de tout un tas de trucs. Puis, je suis une gauloise - la locale, pas le sésamecélébrité Jon Kortajarena fréquence de connexion trois jours sur sept - quand je suis pas en forme ou quand les examens me butent - littéralement. commentaire, avis pour le moment - c'est la lune de miel dédicaces, autres 50 shades of grey est un bon sujet de débat et je crois qu'on devrait même proposer des extraits aux lycéens français pour le BAC
Dernière édition par Dunleigh Forbes le Dim 5 Jan - 0:52, édité 23 fois
Marley Winters
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Sujet: Re: ϟ file à toute allure Ven 3 Jan - 21:57
Je te souhaite officiellement la bienvenue honey. Bon courage pour ta fiche
Mia Forbes
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Sujet: Re: ϟ file à toute allure Ven 3 Jan - 22:04