✰ we will counting stars. (lennox)

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Lennox Avery Lannister
I will destroy you in the most beautiful way possible, and when I leave you will finally understand why storms are named after people
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âge vingt ans et toutes ses dents, même celles de sagesse date et lieu de naissance 3 mai, New York. nationalité et origines elle a des origines mexicaines et probablement d'autres qu'elle ignore. Son passeport indique bien qu'elle est de nationalité américaine. statut civil célibataire. statut monétaire elle est assez aisée, un compte en banque avec une somme assez importante attend sagement qu'elle est vingt et un ans. emploi/études étudiante en histoire de l'art. traits de caractère têtue, rancunière, drôle, solaire, chaleureuse, sarcastique, souriante, passionnée, impatiente, manque de confiance en elle, déterminée, reveus. groupe woman.

feeling no limits, seizing each minute ▷ Lennox n'a pas sa langue dans sa poche. Elle dit toujours ce qu'elle pense. La censure, elle ne connait pas. ▷ Elle est allergique aux fleurs. Si vous avez le malheur de lui en offrir, elle pensera que c'est un attentat contre sa personne ▷ Beaucoup pensent que Lennox est une fille sans cœur, superficielle, arrogante, aguicheuse et sans aucune honte. La plupart ont raison. Mais Lennox est bien plus que ça. Elle cherche juste à trouver sa place dans un monde, un peu trop grand pour elle. Elle a besoin qu'on la remarque, pour être sûre de ne pas oublier comme son père l'a fait avec elle ▷ Lennie n'a jamais été le genre de filles très responsable. Elle vit selon le moto carpe diem ▷ Elle a un tatouage sur le poignet qu'elle a fait après une soirée un peu trop arrosée ▷ Elle boit beaucoup trop de café pour son petit gabarit. Mais ce n'est pas bien grave, elle ne dort pas beaucoup de toute façon

pseudo, prénom Chloé. âge et pays Vingt ans et France. célébrité Selena Gomez. fréquence de connexion trop souvent. commentaire, avis I love you

. dédicaces, autres si quelqu'un veut un lien, n'hésitez pas I love you

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then i'll admit i'm just the same as I was now.

"Oh mother dear we're not the fortunate ones and girls they want to have fun.”
Lennox chantait la chanson super kitsch, symbole de toute une génération au volant de sa vieille voiture cabossée, qu'elle avait eu pour ses 16 ans, pour compenser le fait qu'on l'ait envoyé dans le trou du monde.
« T’as une super voix Lannister. »
« Oh ta gueule, James, t’es complètement défoncé. »
« Comme toi. »

La jeune Lannister en question explosa de rire face à la situation, qui au fond n’avait rien de drôle. Elle en était même devenue pathétique cette jolie brune au volant de sa voiture, les yeux défoncés par le manque de sommeil et l'herbe qu'elle avait fumé pour survivre à l'arrivée du reste de la famille prodige dans les Hamptons. Elle augmenta le son et appuya sur l’accélérateur pour arriver chez elle.

" GIRLS JUST WANT TO HAVE FUUUUUUN.”

Elle freina brutalement devant la maison d’un geste brusque et laissa sa voiture comme ça, mal garé au milieu de l’allée. Son permis de conduire, elle l'avait eu dans une poche à surprise. Et puis, Lennox se moquait bien de savoir si sa voiture gênait. Son existence entière était une gêne. A vrai dire, ces derniers temps elle se souciait de rien, si ce n’est d’elle-même. Elle était devenue égoïste. Elle ne pensait qu’à sa propre douleur, sans se soucier des sentiments de sa mère et de ceux qui se considéraient comme sa soeur et son frère. Eux aussi avaient souffert de la nouvelle, mais Lennox se moquait de tout ça. Elle s'en fichait de savoir comment eux surmontaient le fait qu'ils étaient désormais de la même famille. Lennie, tout ce qu'elle avait retenu, c'est qu'on se souciait pas d'elle, qu'on lui avait préféré une autre famille. Quand sa mère l'avait envoyé vivre chez sa grand mère, ça n'avait fait qu'entretenir le feu qui bouillait en elle. Jamais à sa place nulle part, Lennox avait toujours l'impression de ne pas être désirée. Elle savait qu'elle n'avait pas sa place dans la nouvelle famille que sa mère désirait. Elle n'avait rien du charisme de son nouveau frère ainé, ni la gentillesse de sa nouvelle soeur. Elle n'était que le vilain petit canard et elle entretenait ce rôle à la perfection. Elle ouvrit la porte d’entrée et poussa un petit cri face au comité d’accueil que la famille Lannister lui avait réservé.

« Oula, une réunion fraternelle et je suis même pas invitée. C’est honteux. »
« Oh si t’es invité. Elle est même faite en ton honneur. »
« Oh c’est trop gentil, mais je suis occupée là. A plus mes loulous. James tu viens ? »
« Nan, toi tu restes là Lennox. Et toi … » Dunleigh prit le dénommé James par le col et le claqua contre le mur. « Tu vas dégager et plus jamais t’approcher de ma sœur. »
« Dunleigh, laisse le tranquille. Tu n'es pas mon frère, pas besoin de jouer le rôle. » marmonna Lennox plus pour la forme qu'autre chose.
« Oh mais t’es complètement défoncé. » fit remarquer celle qu'elle devait considérer comme sa soeur, après 6 mois.
« Chuut, c’est un secret. »
« Lennox Lannister, vous allez venir avec moi dans la salle de bain et tout de suite. Toi Dunleigh vire ce détritus de la maison. ». La voix de la reine mère se fit entendre dans la petite maisonnée et Lennox ne put empêcher le sourire affreusement faux de se dessiner sur ses lèvres.
« Oh la Reine mère est également présente. Quelle chance. Vous vous souvenez donc de l'enfant que vous avez abandonné dans cette stupide ville? » Elle lui adressa un regard glacial avant de la contourner pour aller dans la cuisine. Ses lèvres se déposèrent sur le front de sa grand mère, la seule, qui arrivait à apaiser Lennie, avant de rejoindre sa chambre. Elle n'avait pas envie de jouer à la petite fille modèle. Ca ne lui viendrait pas à l'esprit de faire des efforts. Elle est incapable de mentir et de prétendre que l'arrivée de sa mère en ville lui fait plaisir. Dunleigh et Mia, peut être un peu, mais sa mère, certainement pas.

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Ce soir là, Lennox n'avait aucune envie de rester enfermée chez elle, à regarder la vie s'échapper du corps de sa grand mère. Lennie était incapable de rester assise sans pouvoir ne rien faire, sachant que la maladie continuait de ronger la seule personne qui l'avait toujours soutenu. Si elle n'avait jamais été la fille modèle, n'avait jamais eu un comportement irréprochable, il ne faisait aucun doute qu'Abbie était une des personnes les plus importantes de sa vie et si elle ne le montrait pas, Lennox avait parfaitement conscience qu'elle ne survivrait pas à un nouvel abandon, volontaire ou non. Alors, la jolie brune avait enfilé une robe noire et sa veste en cuir favorite avant de s'échapper dans la nuit pour rejoindre le seul bar de la ville.

Son verre de scotch à la main, Lennie ondulait lentement prêt d’une colonne de bois, les yeux fermés, l’esprit embrumé par l’alcool et porté par cette musique qu’elle voulait mépriser mais qu’elle n’arrivait pas à ne pas aimer en cet instant. Le bar était plein, elle avait oublié si on était mercredi ou jeudi, peu importe. « Lennox, je t’ai ramené un verre. » La jeune femme ouvrit un œil torve et le posa sur un brave type plutôt mignon qui essayait de se la faire depuis quelques soirs. « T’es chou Andy. » Il remplaça son verre vide par un autre plein et elle fit tinter les glaçons avant d’en descendre une gorgée. Il s’approcha d’elle et elle leva les yeux vers lui. C’était évident qu’il voulait se la taper et il avait l’air déterminé pour que cela se produise ce soir. Elle s’en foutait un peu à vrai dire, il était certes pas mal mais plutôt dans le genre minet, elle faisait plutôt dans le type baraqué, comme le barman. Ou du genre de James, son meilleur ami depuis toujours, vers qui son regard glissa sans qu’elle ne pu le contrôler. Elle le vit en train de sourire à une blondasse accoudée au bar qui lui montrait carrément ses seins. Lennox pouvait faire la même chose mais étrangement, cela paraissait beaucoup plus chiant quand c’était quelqu’un d’autre qui s’y mettait. Un rictus déforma ses lèvres tandis que des prémisses de jalousie embrasaient ses poumons. Elle arracha son regard à cette vision atroce et se tourna vers le dit Andy. « T’as pas d’amis Andy ? » « Ouais si, mais ils sont torchés, je préfère te parler. » Elle hocha la tête. « T’es sûr que tu veux que parler ? » Elle fit glisser son doigt sur le torse du pauvre Andy qui se mit à rougir à la recherche de sa virilité. Un coup d’œil vers James lui apprit qu’il la regardait. Elle se mit à sourire. Sa soirée s'annonçait mieux que ce qu'elle avait initialement prévu.

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Citation :: lennielannie@mail.com

RE: tu me manques.

Je sais même pas comment je dois réagir face à ça. Je sais pas si je dois en rire ou en pleurer, si je dois partir ou rester pour essayer de me battre, parce que je sais pas ce que tu veux. Je sais pas si tu veux que je sois à tes côtes en tant qu'amie, si tu veux que je sois dans tes bras, ou dans ton lit, ou loin de toi. Tu sais pourquoi j'en ai aucune idée? Car tu ne me le dis pas. Quand je te dis les choses, tu fuis. Tu fais que ça, tout le temps. Courir pour essayer d'échapper à toutes grandes décisions qui pourraient briser ton petit train train quotidien auquel tu tiens tant. Alors tu t'enfuis. Tu fais semblant de ne pas avoir compris et tu sors quelque jolies phrases quand je suis triste, histoire de me baratiner un peu plus, encore et toujours. Tu veux pas que je t'aime mais tu deviens fou furieux quand je décide de voir quelqu'un d'autre parce que je ne veux plus tenir à toi comme je le fais. Hors de question que je sorte avec un autre mec, mais hors de question que tu sortes avec moi. Alors c'est bien mignon tout ça, mais moi j'ai besoin de concret. J'ai besoin de nuits passées à parler, de fous rires en plein cinéma silencieux, de messages du matin, de messages du soir. J'ai besoin de quelque chose de vrai, d'une relation saine. Pas de quelque chose qui est tout et qui n'est rien à la fois, qui est basé sur des promesses en l'air et des mensonges. Voilà ce dont moi j'ai besoin, James, maintenant je veux savoir ce que toi tu veux. Et si ce n'est pas ça, ou du moins ça mais avec quelqu'un d'autre, alors je préfère que tu t'en ailles maintenant.

Assise à la terrasse de la maison familiale, son ordinateur sur les genoux, Lennox grignotait son croissant tout en écoutant sa meilleure amie lui raconter les événements de la dernière semaine. Ses partiels étaient terminés et elle profitait du temps clément pour rattraper le temps perdu avec cette dernière. « T'es entrée dans la salle de bain quand sa mère prenait sa douche ? » Un éclat de rire s’échappa des lèvres de la belle brune, rejoint par le rire de celle, qui avait toujours été à ses côtés. Comme ça, assise à profiter de quelques minutes de répit, elle pouvait presque faire semblant d’être heureuse à nouveau. Son cœur lui paraissait moins lourd quand elle riait des problèmes des autres. Ses larmes camouflées sous une tonne d’anticernes paraissaient dérisoires quand elle avait mal au ventre à force de rire. Alors oui son cœur avait été brisé, mais peut être qu’elle pouvait réapprendre à vivre. Ca ne l’avance à rien de toujours penser à lui. Et si jusqu’à présent, elle s’en fichait parce que ça lui faisait du bien de penser à lui, aujourd’hui, elle se promet de l’oublier, d’oublier son sourire idiot, ses baisers tendres dans son cou et son rire particulier. Elle se d’écraser tous les papillons qu’il faisait naitre dans son ventre. Il l’avait oublié et elle aussi, elle pourrait l’oublier. « Et si on sortait ce soir ? » Et comme si elle avait dit les plus beaux mots de la terre, son frère et sa soeur firent leur entrée. « Je suis partant, mais seulement si l'une de vous conduit. » Lennox ne put s'empêcher de rouler les yeux. Cette famille un peu bizarre était ce qu'il y avait de plus important pour elle, mais jamais elle ne l'avouerait, tenant à son honneur. « On vous a pas invité » « T'as besoin de quelqu'un pour sauver tes fesses. » « Je peux me débrouiller toute seule. » Et comme à chaque fois qu'ils se retrouvaient tous les trois dans la même pièce, le volume de leur voix augmenta. Et pendant ces quelques instants, Lennox oublia sa solitude et ça lui fit un bien fou. Et puis, elle eu le malheur de regarder à nouveau ses emails. O mail. Aucune réponse. Et juste comme ça, son sourire se fit un peu plus terne