(Aislinn) my heart hurts

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aislinn (cara) cahill-carpenter
at the end of the day, all we have is who we are.
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âge Le temps est une prison à laquelle on ne peut échapper et voilà déjà 23 ans qu'elle est emprisonnée. date et lieu de naissance C'est la capitale brésilienne qui a eu l'honneur d'entendre ses premiers cris, le 3 janvier de l'année 1991. nationalité et origines Née d'une père américain et d'une mère irlandaise, elle possède les deux nationalités. De part sa naissance sur le sol brésilien, elle possède aussi la nationalité brésilienne, quand bien même elle l'oublie très souvent. statut civil Elle a horreur de porter des chaines et elle considère l'amour comme la plus horrible des prisons, rien d'étonnant donc qu'elle soit célibataire. Elle enchaine les histoires courtes sans ne jamais se poser. statut monétaire Elle a grandit dans le luxe, les soirées mondaines, entourée de nanny et de voiture de luxe. Elle est fortunée, ou plutôt, ses parents le sont et elle en profite. Mais cela a souvent un revers de médaille assez pesant. emploi/études Chez les Cahill-Carpenter il n'est pas envisageable de ne pas faire des études de droit. Ce n'était absolument pas la voie qu'elle avait envisagé, mais comme chacun de ses frères, c'est la voie qu'elle s'est vu obligée de suivre. Mais elle suit secrètement des cours de médecine en auditeur libre. traits de caractère Sauvage, irresponsable, téméraire, féministe, pleine de colère et de tristesse, contradictoire, rebelle, mystérieuse, provocante, maniaque, combative, rancunière, agressive, volage, se cache souvent derrière des faux-semblant... groupe woman.

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feeling no limits, seizing each minute Petite dernière du clan Cahill-Carpenter, elle est aussi la seule fille et la seule à porter des prénoms d'origine irlandaise. Ainsi Aislinn signifie rêve, vision, doux écho au fait que sa mère rêvait d'enfin avoir une fille après avoir eu trois garçons. Cara signifie quant à lui amie. ₪ À l'âge où ses camarades se lançaient dans la danse et la musique, elle, elle se salissait les mains de cambouis, restaurant des vieilles bagnoles avec l'un de ses frères et se meurtrissait le bout des doigts en tirant sur la corde d'un arc trop puissant pour elle. ₪ Ballotée de pays en pays pendant toute son enfance, elle parle plusieurs langues couramment. Ainsi, outre l'anglais et l'irlandais (ses langues maternelles), elle parle aussi couramment le portugais, le français et l'allemand. En outre, elle a quelques notions d'arabe et d'hébreux. ₪ Née au Brésil, elle a 3 ans quand sa famille déménage pour la France, 8 ans quand ils migrent en Allemagne. A 10 ans, elle s'envole pour Israël où elle passera deux ans avant de partir pour le Portugal. Elle a 15 ans quand sa mère est finalement envoyée aux Etats-Unis et elle n'en est plus partie depuis. ₪ Son père est Sénateur depuis six ans maintenant. Conservateur, il prône les valeurs familiales traditionnelles, est contre l'avortement, tend à toujours considérer l'homosexualité comme une maladie et à encourager les femmes à rester au foyer. Des idées contre lesquelles Aislinn se bat ouvertement. Ainsi, tout un chacun sait que la fille de Abraham Carpenter ne votera jamais pour lui, souvent décrite comme le vilain petit canard de la famille par les membres du partit de son père et plébiscitée par l'opposition, c'est un statut dont elle joue et qu'elle porte fièrement. ₪ Elle avait 12 ans la première fois qu'elle s'est fait prendre pour vol à l'étalage. Elle s'est alors rendu compte que c'était une manière particulièrement efficace pour attirer l'attention de ses parents. Les infractions ont alors continué, augmenté en intensité aussi. Mais chaque fois elle s'en est sortie totalement indemne, protégée par le statut de diplomate de sa mère. Aujourd'hui, bien qu'elle ne recherche plus vraiment l'amour de ses parents, sa colère intérieure et son constant besoin d'adrénaline la pousse à continuer à dépasser ses limites. ₪ Grande amatrice d'automobile, elle possède trois voitures de collection, ainsi que deux sportives. Tout autant amatrice de vitesse, elle a restauré une vieille Toyota Supra dont elle se sert lors des courses sauvages auxquelles elle participe en compagnie de sa meilleure amie Sawyer. ₪ Ouvertement bisexuelle, elle a eu sa première expérience avec une autre demoiselle quand elle avait 16 ans à la suite d'un défi qu'on lui avait lancé. Si son père ne l'a pas rejeté, c'est simplement parce qu'il est persuadé qu'elle agit de la sorte uniquement pour l'emmerder. Et elle se garde bien de lui dire que même si elle joue dans les deux camps, sa préférence est pour les formes féminines. ₪ Elle ne jure que par Apple. Imac, macbook, Iphone, Ipad, Ipod, elle possède tous ces petits bijoux et ne vous fatiguez pas à lui parler des concurrents, elle ne vous écouterait même pas. ₪ Elle aime les cornichons, les séries dramatiques, la glace au café, les films d'actions, le chocolat, les comédies musicales françaises, le rock et la country, les coucher de soleil, la neige, Noël, rester longtemps sous la couette le matin, le café noir sucré ... Elle déteste les épinards, les films romantiques, les comédies et les humoristes, les filles superficielles à la Paris Hilton, les machos, le football, la saint valentin ... ₪ Lorsqu'elle était gamine et qu'elle s'ennuyait, elle passait beaucoup de temps dans les cuisines. Elle y a appris à cuisiner et est aujourd'hui une très bonne cuisinière. Elle peut vous cuisiner des petits plats français, brésilien, portugais ou encore arabe. Enfin ça, ce serait si elle trouvait aujourd'hui le temps et l'envie de s'enfermer plusieurs heures dans une cuisine. Ce qui n'est malheureusement que très rarement le cas. ₪ Elle n'est jamais tombée amoureuse et elle n'y tient pas vraiment. L'amour c'est un piège à con dans lequel elle aimerait ne pas tomber. ₪ Elle possède deux tatouages. Une colombe sur la cheville gauche et le symbole chinois de la liberté sur la nuque. Elle envisage de se faire tatouer une nouvelle fois, mais elle souhaite faire quelque chose en l'honneur de son frère décédé et n'a pas encore trouvé ce qu'elle veut.

pseudo, prénom Triba. âge et pays 25 ans. célébrité Jessica De Gouw. fréquence de connexion 5/7. commentaire, avis il est superbe ce forum puisqu'il m'a fait craquer !. dédicaces, autres Insurgés obtempérez, obtempérez, obtempérez. Attention, c'est l'ultime sommation.

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"you," he said, "are a terribly real thing in a terribly false world, and that, I believe, is why you are in so much pain."
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Aout 2010 - If i die young burry me in satin, lay me down on a bed of roses, sink me in the river at down, send me away with the words of a love song. Entendre cette chanson lui donne aujourd'hui la nausée. Elle l'adorait pourtant. Lui aussi. Peut-être un peu trop. Sans doute aurait-elle dû y voir un signe mais, elle portait des ouillère et lui était devenu un maître dans l'art de dissimuler sa peine. Les larmes coulent le long de ses joues alors elle sert les poings et se mord les lèvres. Elle ne doit pas recommencer à pleurer, elle sait qu'elle n'arrivera pas à s'arrêter. Mais c'est bien plus facile à dire qu'à faire. Elle regarde les boites posées sur le sol soupire et jette un regard plein d'espoir vers la porte laissée ouverte. Personne. Elle refoule sa colère dans un coin. Mais quand même, ils auraient pu être là. Eux aussi ont perdu quelqu'un. Un fils. Un frère. Si elle ne s'attendait pas à voir ses parents, elle avait espéré qu'au moins un de ses frères serait là pour la soutenir. Mais non, il fallait faire le tri dans les affaires de Jeremiah et elle devrait le faire seule. Elle ne savait pas vraiment par où commencer. S'il n'y avait eu qu'elle, cette chambre serait restée in-touchée. Mais chaque fois que sa mère passait devant, elle pouvait voir cette douleur difficilement dissimulée et quand bien même elle n'était guère proche de sa maternelle, elle ne pouvait plus supporter ce regard. Les yeux humides elle s'approche du chevalet de son frère. C'était un artiste. Un peintre. Elle le trouvait doué. Elle a même plusieurs de ses peintures accrochées dans sa chambre. Mais il a été obligé de faire du droit, comme tous les autres. Et il détestait ça. Elle joue quelques instants avec le pinceau avant de le reposer à sa place. Comment est-elle supposée savoir ce qu'il faut garder, ce qu'il faut jeter et ce qu'il faut donner ? Elle lui en veut. Elle lui en veut de l'avoir mise dans cette situation, de l'avoir abandonnée et de la laisser avec toute cette peine et toute cette colère. Elle n'arrive pas à comprendre son geste, à l'accepter. Comment est-elle supposée accepter que son frère était si malheureux qu'il en ai décidé de mettre fin à ces jours ? Et elle n'a rien vu. Rien. Les larmes montent de nouveau jusqu'à ses yeux et une fois encore elle les empêche d'aller plus loin. Elle prend le livre posé sur la table de nuit. Elle ne connait ni le titre ni l'auteur. Elle l'ouvre, le feuillette, simplement pour se rendre compte qu'il est écrit dans une langue qu'elle ne comprend pas. Et malgré elle, elle esquisse un sourire. Il n'y avait que Jeremiah pour lire autre chose que des BD, encore plus pour les lires dans leur langue d'origine. Elle referme le livre et le sert contre elle. Elle voudrait donner des coups dans quelque chose, mais elle se retient. Elle ne sait pas pourquoi, c'est comme si elle avait peur de ne pas pouvoir survivre sans cette colère intérieure. Comme si elle était devenue son air, la condition sine qua non à sa survie. De nouveau elle esquisse un sourire quand elle trouve, caché entre deux livres, un joint. Sans se poser aucune question, elle le porte à ses lèvres et prend le briquet posé sur le bureau pour l'allumer. Ce n'est pas son premier joint, pourtant elle a l'impression qu'il a quelque chose de particulier. Peut-être comme s'il avait le pouvoir de la rapprocher un peu de Jeremiah. Douce illusion. Dur retour à la réalité. Il n'a rien de magique. Ce qui ne l'empêche pas de tirer une deuxième taf dessus. Elle sursaute en entendant un téléphone sonner. Elle reconnaît la sonnerie aussitôt. Elle sent de nouveau qu'elle va craquer mais se raccroche à Dieu seul sais quoi. Et la main tremblante elle prend le téléphone de son frère, regarde le numéro. Répond. « Allo? ». Et au bout du téléphone la voix enjouée de la directrice d'une galerie. Elle l'écoute sans vraiment faire attention à ce qu'elle dit. Les larmes portent alors un nouvel assaut et cette fois elle ne peut les battre. « Jeremiah est mort. ». C'est la première fois qu'elle le dit à voix haute. Depuis ces deux dernières semaines, c'est la première fois. Alors elle craque, laisse tomber le téléphone et éclate en sanglot. Son frère est mort. Il s'est pendu et il ne saura jamais que quelqu'un était près à payer pour exposer ses peintures.