relashionshit

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Dunleigh Mercutio Forbes
God has given you one face, and you make yourself another. shakespeare
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âge Vingt-huit printemps et ce foutu temps qui ne s'arrête jamais date et lieu de naissance 14 Février - ironie du sort de mise, de toute évidence. New York. nationalité et originesnationalité américaine avec du sang rital qui boue dans les veines et la classe à la française , nonchalante dans les airs. statut civil civilement célibataire - celui qui croque la vie à pleines dents - crocs toujours affutés statut monétaire fluctuant - aléatoire - plutôt aisé quoique biaisé - en vertu de ses talents de comptable plutôt moyens tirant même sur le médiocre emploi/études Journaliste au New York Times - un peu pompeux comme emploi, un peu vendeur de rêve ou de cauchemar. Chroniqueur télé sur une chaîne locale - vous ne connaissez pas " Les pérégrinations d'un squale" ? Et bien c'est un mélange corrosif entre cynisme et cruauté humaine - politiquement correct. En vrai, c'est de la grosse daube et, il a bien hâte que son contrat tire à sa fin traits de caractère Sarcastique - verre toujours vu à moitié vide - Méticuleux - Franc - Orgueilleux - Blagueur - Un brin enjôleur - Plutôt réfléchi - Protecteur - Brave quand la situation l'exige - Un peu grossier - Très généreux - Connard sur les bords groupe men

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feeling no limits, seizing each minute △ Dunleigh nourrit secrètement une fascination pour les boutons de manchettes – il en a des tas, plusieurs tiroirs à gueule de présentoir qu’il cache à la vue de tous même de ses sœurs qui ne doivent même pas se douter de l’existence de cette collection couteuse et certainement ridicule. Chut. △ Il y a quelques mois, il a accueilli un chien – un teckel flippant qu’il a trouvé sur le bordure d’une route de campagne alors qu’il devait certainement avoir un degré d’alcoolémie plutôt cocasse – surement l’éthanol qui lui est monté au cerveau ou une connerie du genre quoiqu’il en soit, à ce moment l’adoption d’un clebs lui semblait une merveilleuse idée – ce qui , visiblement, n'est plus trop le cas. Voyez-vous, ça lui demande beaucoup de concentration et, s'il n'a pas pu garder en vie l'espèce d'horrible plante verte que Mia lui a un jour offert, il ne pourra pas le garder bien longtemps en vie, son teckel, qui se nomme Mia - comme sa sœur - mais qui est - d'après le service trois pièces qu'il balade- un mâle. △ Lorsqu’il était petit – avant que sa mère ne trompe son père, avant le divorce et les pleurnicheries sans fin, avant la « catastrophe » de son enfance – l’on avait jugé utile au petit Dunleigh d’apprendre la danse – pas celle avec un juste-au-corps mais celle que l’on nomme de « salon ». Malgré la gêne qu’il ressent lorsque ses sœurs décident de sortir les vieilles photographies, il se targue désormais de savoir bouger son corps, mieux que ses frangines, en tout cas. Enfin – même s’il se démarque dans la danse statique, vous voyez le concept ? Dunleigh est celui qui se contente de tenir le mur ou le siège VIP – bière à la main, cigarette de l’autre. Mention spéciale – gigotage sans queue ni tête, à l’occasion. En vérité ? Dunleigh n’a pas le rythme dans la peau. Mais est-ce que les autres ont besoin de le savoir ? △ Dunleigh joue du piano – comme un manche – mais, oui, il est virtuose △ Sa journée ne débute jamais sans une bonne séance de tartine en tout genre – sa femme de ménage ( Manuela) doit être là avant que Monsieur ne se lève et doit lui en préparer au moins cinq – si elle tient à conserver son boulot. Quel est le rapport entre le ménage et la bouffe ? △ Manuela ne parle que l’espagnol. Mais, Dunleigh le parle couramment. Il parle couramment un anglais auquel il ajoute un accent espagnol. Un artifice qui prend presque puisque cela fait trois ans qu’il arrive à bricoler avec un « por aqui », « por alli », « como ? » , « rapido», « vamos », « no » et le merveilleux « si ». Il l’aime bien sa femme de ménage – puis, même si parfois, il n’a pas de quoi la payer, elle vient quand même parce qu’il a sa belle gueule d’ange et qu’apparemment, il ressemble à son oncle Paolo mort de la tuberculose △ Dunleigh , sportif ? Seigneur – le sport, le sport, le sport c’est pour les cons. Évidemment, tout le monde sait qu’il était à deux doigts de rejoindre l’équipe de foot américaine mais, qu’une blessure des ligaments – le coup classique – lui a brisé son rêve en mille morceaux. Il faudrait qu’il finisse par avouer qu’il n’a pas eu envie de raccrocher ses crampons et qu’il nourrit secrètement l’envie d’avoir sa propre émission télé consacrée à ce sport si peu apprécié des boudins pullulant aux Etats-Unis. Ce n’est pas qu’un sport où un idiot court après une baballe ! Veuillez en parler avec déférence en sa présence où le volcan Dunleigh entre en éruption △ Sa femme idéale se rapproche d’un mix entre Angelina Jolie et Sonia la Rouge – et autant avouer tout de suite : son héros n’est pas superman ce gay refoulé, ni même spiderman – ce copieur mais Conan le Barbare – la version Schwarzenegger. △ Il n'a jamais pardonné à sa mère, ni même à son père. Seules ses soeurs ont droit à un amour inconditionnel venant de lui. Les autres membres de sa famille ? Les autres n'ont qu'à aller se faire foutre. △ Dunleigh se ruine pour son prochain - Dunleigh voyage beaucoup et s'arrange souvent d'atterrir dans un coin en ruine, histoire de donner un coup de main aux sinistrés après le Darfour, il y a eu Haïti. Et les habitants de la nouvelle Orléans. S'il achète tout plein de costards c'est pour les Galas de charité auxquels il assiste ( et aussi, pour pouvoir les porter, ces boutons manchettes, hein)△ Il a le cellulaire greffé à l'oreille. Les affaires, sont les affaires, chérie. Va commander à boire en attendant, d'accord ? Et ce ton paternaliste qu'il utilise lorsqu'on le pompe -

Dernière édition par Dunleigh Forbes le Dim 5 Jan - 12:46, édité 1 fois

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Plus un, c'est tout.
A AJOUTER /

- MIA - MIA - soeur biologique et merveille

- LENNOX - Siblings - soeur par alliance - protégée
- EFFY : Mentorat - magicien -
-MARLEY - I'M A CHIHUAHUA

je peux ? ils auraient pu se rencontrer à New York ? Au cours de ses études, Adhi aurait pu aller faire un stage au New York Times. A cet époque là, elle ne ressemblais pas à la femme d’aujourd’hui"hui. C'était une jeune fille un peu pommé avec très peu d'argent, juste assez pour payer l'école. Ses habits un peu démodé mettait bien en avant ce côté là. Aujourd'hui, grâce à son métier, elle vit convenablement et suit la mode avec un style un peu décalé tout de même. Elle travaille pour Vanity Fair avec ta sœur, Mia, qui par ailleurs est aussi sa meilleure amie.

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Bien sûr.

Je pense que la trame est bonne puis en plus, on peut encore peaufiner. Mia aurait pu les présenter - je ne sais pas depuis combien de temps elle connait Adhelia - peut-être même qu'il aurait été séducteur avec elle ( de toute façon, à quelques exceptions près, il est toujours séducteur avec les femmes) même si, à cette époque elle n'était qu'une gamine mal fagotée, il aurait été parfaitement charmant avec elle. Dunleigh n'est pas le genre à n'apprécier que la beauté extérieure, il est plus le genre à trouver la beauté partout. Du coup - rétrospectivement, peut-être qu'il aurait pu ou elle, avoir le béguin. Ce qui, aurait facilité les relations. Je le vois bien s'être porté garant pour son stage au NYT à l'époque, même s'il devait surement lui-même faire ses preuves. Depuis, il remarquerait que le canard est devenu un véritable cygne et qu'il n'avait pas tort à l'époque de voir le potentiel en elle. Évidemment, depuis, ils se donneraient des coups de pouce - par exemple : lorsqu'il a besoin d'un contact et qu'il est en sa possession, lorsqu'il a besoin d'une cavalière pour les galas auxquels il se rend. Quelque part, ils seraient devenus amis à la longue même si, ce serait plus le genre de relation ambigüe où, les gens qui ne s'y connaissent pas, croiraient qu'ils sont en couple. Tu vois le genre ?

Si ça te convient

MOI.

Je viens en grosse touriste

tu as besoin de quelque chose en particulier ? Sinon on cherche ensemble. relashionshit 1003495007

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Quelque chose en particulier. A dire vrai, il semblerait que je sois libre comme l'air

Bon - la famille Forbes est aisée et, le métier de Dunleigh lui assure une vie plutôt confortable mais - est-ce que ça peut toujours fonctionner le lien amant ? A bidouiller ? Ou on essaye de rebondir sur un autre point. Quelque chose comme - connaissances, amis d'enfance - famille éloignée - on a encore l'éventail de tous les possibles entre nos mains, ma doucereuse

Ton personnage, je l'aime d'amour. C'est un sacré con, il me fait un peu penser à Nicolas Bedos. relashionshit 3664381183

Enfin bref. Si tu tiens au lien de l'amant, on peut tout à fait bidouiller. Je le voulais pauvre et insouciant pour qu'il y est cette ambivalence désir/mépris entre les deux. Mais au vu du caractère de Dunleigh, je pense que Marley n'aura pas vraiment de mal à ressentir du mépris. relashionshit 749541103

Invité

Nicolas Bedos - je ne le connais pas personnellement ( genre, sans blague ? WTF) - mais son personnage médiatique est un enfoiré de première. Rien qu'avec la polémique avec miss météo - un sacré con. Mais, j'aime bien les mecs avec autant de coffre    quoique je préfère le père au fils, quand même

Mais au pire, fais-le en scénario    le lien amant. Si tu veux qu'on essaye de tisser un truc sur le pouce xD A ton bon vouloir - tu sais, Dunleigh peut très bien être le genre d'ex qu'on se garde à vie, un peu à vocation herpès débarquant toujours à point pour nous rappeler des périodes peu glorieuses de notre existence. Je le vois bien fréquenter les mêmes endroits et , ne pas hésiter une seule seconde venir la gratifier d'une verbiage incisif parce que , la fin de leur relation - officielle, officieuse ?- aurait pu être catastrophique et qu'il y a toujours une remontée de bile pour amener à son bon souvenir l'amertume qu'il garde toujours en stock, la concernant.

Avec deux cerveaux, quand même !

On va y arriver, je te promets

eh bien, Mia et Adhi se connaisse depuis quelques mois seulement donc, ce ferait peut être juste, je ne sais pas

Invité

Mais, y'a moyens qu'ils se soient connus tous deux avant qu'elle n'ait connu Mia ? Et pour le coup - on enlève la partie intermédiaire et on les fait se rencontrer directement au Times. On va faire comme ça et on verra comment le lien évoluera à la longue

Yollo. J'ai bien envie d'un lien, ça m'a tout l'air d'être un bel (superbe-à tomber-magnifique) emmerdeur

Invité

Et bien, va pour un lien.

Dunleigh n'est pas un emmerdeur - à peine

A ce que j'ai cru comprendre, Joan commence à fréquenter les fortunés lors des galas en tant qu'escort pour un certain Andreas ? Est-ce qu'il se pourrait que Dunleigh ait connu la belle via son boulot pour ensuite la revoir lors d'un évènement bourré du gratin ? J'imagine que tous tes liens se rapprochent de ça. Mais, on va faire jouer nos neurones. Déjà, que verrais-tu comme relation ? Quelque chose de tortueux, négatif ou positif ? Parce que Dunleigh pourrait la gratifier de son cynisme à tout temps

Fallait quand même que j'marque mon territoire, pas de bêtise frérot.