Clyde Artwood
♤ MESSAGES : 38
♤ INSCRIPTION : 03/01/2014
♤ PSEUDO : Gus
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♤ CREDITS : babite
♘ GIVE YOU THE WORLD.
ADRESSE:
CARNET D'ADRESSES:
DISPONIBILITE: 75%
 | | Sujet: Clyde (x) Until the end of everything Ven 3 Jan - 11:15 | |
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Clyde Artwood
« Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières et c'est la troisième qui m'a choisi... »
-------------------------------âge on pourrait dire l'âge de tous les possibles, mais aussi des ratés qui prennent de l'importance, des doutes, des questionnements existentiels sur le temps qui passe, sur l'amour, sur la mort, sur le temps qu'il nous reste, mais aussi celui de l'insouciance, des oublis, du moment présent, de la passion, du jeu, du rire, de l'excès: dix-huit années. date et lieu de naissance c'était un matin d'hiver, juste après le passage à la nouvel année, le 2 janvier 1996 à 7h05 à la clinique de Southampton nationalité et origines américaine. statut civil célibataire. statut monétaire aisé. emploi/études lycéen, prépare son diplôme. traits de caractère déterminé - franc - joueur - impulsif - possessif - entier - irresponsable - orgueilleux - rêveur - passionné - anticonformiste - un brin fou - bordélique - amical - fidèle. groupe men. 
feeling no limits, seizing each minute Clyde est l'aîné d'une fratrie recomposée de cinq frères & sœurs x Il n'a d'ailleurs qu'un véritable frère de sang qui a 14 ans, il ne partage avec les trois filles de la famille qu'une simple maison depuis cinq ans x Il ne s'entend d'ailleurs pas très bien avec la plus âgée de ses soeurs, qui est née la même année que lui, ils passent leur temps à se faire des coups bas, à se prendre la tête et n'hésite pas à rendre la vie de l'autre impossible avec beaucoup d'ingéniosité x Clyde ne se sépare jamais de son meilleur ami, avec qui il fait les 400 coups x D'ailleurs, pour tous deux, le lycée n'est qu'une vaste foutaise destinée à les enfermer dans un système duquel ils ne pourront plus jamais s'échapper, mais bon, au moins, ça leur permet de contenter un minimum leurs parents x Le lycée, c'est aussi les grandes découvertes, les histoires de cœur qui se finissent dans un bain de sang, les soirées qui se finissent dans un bain de larmes, d'alcool, ou la tête dans les toilettes, c'est l'appel des paradis artificiels, comme un rite de passage étrange auquel on ne se lasse pas de participer activement, pour trouver son identité, pour trouver sa place x Il aimerait beaucoup faire des études d'art, mais cette idée n'enchante pas vraiment sa mère, qui a peur que cette voie ne le conduise nul part, ou du moins, pas là où elle souhaiterait qu'il aille x Il passe beaucoup de temps dans ses livres, dans les galeries d'art, ou derrière son appareil photo ou sa caméra x Et n'est d'ailleurs pas prêt à abandonner sa passion, passant son temps à contredire sa mère ou à tenter de la convaincre de le laisser suivre son instinct et de laisser exprimer son talent x Clyde déteste le chocolat, ceci n'étant sans doute pas étranger au fait que son père biologique en mangeait quasi constamment x Il n'a d'ailleurs pas de nouvelles de son paternel, ce qui crée entre son petit frère et lui quelques tensions, vu que ce premier aimerait beaucoup entrer à nouveau en contact avec lui x En dehors de cela, il a des relations très positive avec son petit frère, qu'il adore protéger et prendre sous son aile dés qu'il en a l'occasion x Il aime beaucoup voyager, et regrette un peu l'époque où sa mère les entraînaient, lui et son frère, de ville en ville et de pays en pays, avant qu'elle ne rencontre son nouveau mari et décide de s'installer à nouveau dans les Hamptons x Clyde n'a pas envie de rentrer dans un moule, de devenir un stéréotype, bien qu'il ait l'impression qu'on le lui demande chez lui, au lycée, ... x Il n'a pas forcément envie d'être le mec populaire qui boit des litres, organise les fêtes les plus côtés et qui est un vrai salop avec les filles, même si c'est l'image qu'on lui colle souvent sur le dos x En bref, il voudrait échapper à ses contradictions x Il ne manque jamais d'idées et d'ingéniosité pour monter les plans les plus fous avec son meilleur ami, contre "sa demi-sœur" ou par pure rébellion.
then i'll admit i'm just the same as I was now.
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YOUNG PEOPLE
« Qui de vous n’a pas regretté cet âge où le rire est toujours sur les lèvres. »
-------------------------------« Clyde putain, c'est quoi ce bordel ? Qu'est ce que t'as encore foutu !? » Valentin venait de pénétrer dans la chambre. J'essayais de comprendre ce qu'il me reprochait, regardant autour de moi. A priori, tout avait l'air normal, mais mon corps en triste équilibre sur le lit et ma tête pendante dans le vide ne laissait rien présagé de bon. Je tentais tant bien que mal de me redresser mais cela me paraissait irréalisable, c'était comme si j'étais bloqué. Tentant de mobiliser mes neurones, je compris bien vite que mes mains étaient liées par une corde, attachées dans mon dos. Je commençais vraiment à me demander ce qui m'avait conduit jusqu'à cette position compromettante. « J'sais pas. J'suis où là déjà ? » Valentin était à la fois circonspect et amusé. Il ne tarda d'ailleurs pas à laisser échapper un rire bruyant. « T'as vraiment l'air trop con. » Et je ris de bon cœur avec lui. « On est à la soirée de Gwen, et là t'es dans sa chambre, et visiblement quelqu'un en veut à ton corps, ou alors tu t'es fait ça tout seul, mais vu ton état, j'en doute vraiment fort. » Et nous rions à nouveau. Valentin, c'était mon meilleur ami depuis la nuit des temps, on avait été séparés, bien sur, durant les années où j'avais voyagé avec ma mère, mais depuis que j'étais revenu, il y a un peu plus de cinq ans, nous étions à nouveau comme larrons en foire. J'enviais parfois les filles et leurs amitiés, elles pouvaient se donner à fond, se plonger dans la vie les unes des autres, et se montrer ouvertement l'amour qu'elles se portaient. Au lycée, entre gars, c'était différent, on se bataillait, on se tapait le dos de temps en temps, mais on évitait de se confier sur nos vies, ou sur des choses qui nous touchaient de trop près. Mais avec Valentin, c'était différent, il connaissait tout de moi, dans les moindres détails, et nous n'avions pas besoin de l'humour pour parler de choses sérieuses. J'avais vu Valentin dans tous ses états, et c'était comme un deuxième frère pour moi. « Bon, bouge toi et détache moi là, tu vas quand même pas me laisser comme ça ! » Je le vis sourire, attraper mon appareil photo que j'avais laissé sur la table de nuit derrière moi et me dire, avec un rictus malicieux dessinant ses lèvres : « Cheeeese ! » On n'a jamais su pourquoi je m'étais retrouvé attaché sur ce lit, parfois on rigole en se disant que ce n'est peut-être pas plus mal de rester dans l'ignorance. Mais cette photo fut la première d'une longue série, qui nous permet d'alimenter un album photo qui retrace les situations les plus étranges dans lesquels on s'est tous les deux fourrés, et dieu seul sait s'il en existe. Des tas.
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BITCH
« La haine serait-elle donc la plus violente, la plus exacerbée des formes de l'amour ?. »
-------------------------------Encore elle ! Son parfum flottait dans l'air et j'avais cette envie rare de perdre à jamais mes sinus. Par l’entrebâillement de la porte de ma chambre, je la voyais qui se regardait dans le miroir du couloir, elle avait revêtit une de ses plus jolies robes. Étrange. Il était plus de minuit, et nous étions en pleine semaine. Je savais ce qu'il me restait à faire mais je prenais le parti de l'observer encore un moment. Cela faisait cinq ans que nous partagions la même maison, mais je ne pouvais toujours pas la supporter, elle dégageait quelque chose d'affreux. Pourtant, au départ, son père et ma mère avaient essayé. Ils nous avaient inscrits à des activités ensemble, nous réunissaient pour le dîner, nous amenaient dans des parcs d'attractions, bref, tentaient de nous construire des souvenirs communs, mais rien n'y avait fait. Nous avions treize ans, au départ, et le chemin de l'adolescence n'avait rien arrangé. Je détestais sa petite chambre fleuri bien rangé, quand la mienne était un vrai taudis, je détestais ses copines qui se croyaient intelligentes, je détestais le fait qu'elle continue à voir ses deux parents. Elle me dégoûtait au plus haut point, ou du moins, c'est ce que j'essayais de me faire croire. Parce que bien sur, vers seize ans, vivre avec une adolescente de son âge avec qui on ne partage pas de liens familiaux, ça vous rend vite dingue. Et cette haine que j'avais pour elle, était peut-être au fond une barrière qui m'empêchait de prendre des risques. Je me tirais de mes pensées et sortais dans le couloir. « Tu vas t'coucher habillée comme ça ou tu vas faire la pute avec tes copines ? » Elle me regardait, elle avait l'air surprise mais tentait de le dissimuler, cette fille était une manipulatrice née. « Pourquoi, t'es intéressé ? » Sa répartie me faisait parfois pitié. « Le désespoir n'a pas encore frappé, désolé. Mais si jamais un jour je suis au plus mal, j'penserai à venir toquer à ta porte. » Elle me sourit, l'air blasé. Même si l'on ne se le montrait pas, on prenait plaisir à s'affronter, même pour des choses futiles. C'était une compétition constante entre nous, partout et sur tous les plans. « Ouais. Bon, tu te décales là, faut que j'y aille. » Elle me connaissait définitivement très mal. « Oh ! Je crois que ça sera inutile. » Son père pénétra dans le couloir et s'adressa à nous : « Clyde, va dans ta chambre s'il te plait. » Il détourna son regard sur sa fille et continua : « Toi, avec moi. » J'étais plutôt fier de mon coup, en envoyant un petit message à son père, j'avais réussi à foutre en l'air sa soirée et sa tentative de s'en aller en catimini. Je souriais intérieurement, satisfait de ma petite victoire. ------------------------------------------------------------------------ « Tu vas me le payer, tu vas me le payer! » hurlai-je dans les couloirs de chez moi, fonçant droit vers sa chambre. Cette fille était l'incarnation du démon, la pire chose que cette terre est jamais été fichue d'héberger. Et il avait fallu que ma putain de mère tombe amoureuse de son putain de père. Elle avait réussi son coup : jusque là, j'avais été sympathique, je m'étais retenu d'aller trop loin, je m'étais fixé des limites, mais si elle voulait jouer sur ce terrain là, ça allait être la guerre, la vraie. Je poussais la porte de sa chambre, complètement hystérique et l'attrapai par le poignet. « Qu'est ce que t'as fait de mon album ? » La peur perlait un peu dans son regard, mais elle restait impassible, tentant d'afficher un petit rictus sur ses lèvres. « Quel album ? » Je bouillonnais. Il n'y avait qu'elle qui avait pu envoyer certaines de ces photos plus que compromettantes à tout le lycée. Ce monstre était venu dans ma chambre et m'avait dérobé mon album. Je me sentais violé. « Celui qui contenait les putains de photos que tu as diffusé au lycée, t'es vraiment pire qu'une traînée. » dis-je, lui lâchant le poignet, tellement elle ne m'inspirait que du mépris. « Tu veux vraiment qu'on en arrive là ? C'est ça que tu veux ? Je vais te rendre la vie tellement impossible que tu vas préférer crever plutôt que de rester une minute de plus dans cette maison. Je te le promets. » Je captais une seconde son regard, qui semblait un peu attristé bien qu'elle fut plongée dans un mutisme tout nouveau et je tournais les talons. 
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DON'T GET BACK
« La jeunesse est une douleur en manque de compréhension. »
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J'étais bloqué devant mon devoir. « Que vous manque-t-il ? » Je restais pantois. Je trouvais cette question affreusement délicate, et affreusement personnelle. Que diable cela signifiait-il ? Et puis, attendait-on de moi que j'expose ce qui était présent dans le passé et avait disparu, ou ce que je n'avais pas au présent et que je voulais à l'avenir ? Je comprenais peu à peu que les deux étaient affreusement liés. De mon passé, je regrettais les attaches inexistantes, qui me permettaient de laisser s'exprimer tout ma sociabilité, toute mon insouciance aussi, être sur la route avec ma mère, c'était comme si rien n'avait jamais de lendemain, que seul le moment présent comptait. Pendant ces années sur les routes, j'avais découvert une femme différente de la mère que j'avais toujours eue à mes côtés. Aujourd'hui, elle était redevenue un peu de cette seconde : lointaine, accrochée à ses principes, à sa richesse, à sa petite vie bien rangée. Elle avait retrouvé un mari riche, avec une situation stable, les enfants à gérer, le quotidien, les contingences matérielles. Il arrivait parfois que j'entraperçoive à nouveau l'aventurière, mais c'était de plus en plus rare. Cette mère-là me manquait. Beaucoup. Je voulais étudier aux beaux-arts, être artiste, ou galeriste, et ses encouragements manquaient à ma vie. J'aurais eu besoin de me sentir soutenu. Mais elle préférait que je poursuive un cursus qui m'assure la fortune, même si mon héritage y suffirait amplement. Je détestais ce constant besoin du plus. Et puis il y avait mon père, et c'était l'exemple le plus frappant de ces choses qui vous suivent toute votre vie, au passé, au présent et au futur. Quand il est parti, il y a onze ans, ça a été un déchirement et une renaissance pour nous tous. Parfois il envoie des cartes postales pour nos anniversaires, mais je n'y réponds jamais. Quelque chose s'est brisé. Ces années d'absence ne seront comblées par rien au monde. Ni par le temps, ni par l’apparition d'une présence. Rien n'y ferait. Et cela était sans doute le plus béant, le plus inconsolable trou de mon existence.
pseudo, prénom gus, marine. âge et pays 20 ans dans quelques jours, france. célébrité Luke Volker. fréquence de connexion 1 jour sur 2 à peu près commentaire, avis la forum est vraiment super joli, j'ai hâte de déposer mes valises ici. dédicaces, autres 
Dernière édition par Clyde Artwood le Ven 3 Jan - 20:34, édité 22 fois | |
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Je ne reconnais pas le garçon sur ton avatar. 
Hunter ? 
et j'aime beaucoup le prénom 
bon courage pour ta fiche 
(il nous faudra un lien, j'ai déjà une idée hihihihihi)
